La Mémoire vive (ex Louis Buton, ex Un Vendéen résistant et déporté)

Cinéma

Budget : M€

Stade : Financement

Dates de tournage : septembre-octobre 2022

Lieux de tournage : Vendée (Île d’Yeu, Aizenay, La Roche-sur-Yon…), Allemagne (Berlin, Mauthausen)


Réalisation
  • Jérémy Banster
Scénario
  • Jérémy Banster
  • David Oelhoffen
Musique
  • Nathaniel Méchaly
Production
  • Cantina Studio
Partenaire(s)
  • Ville d’Aizenay
  • Département de la Vendée

Synopsis

Adaptation du témoignage éponyme de Louis Buton paru chez Geste Editions.

La Mémoire vive raconte l’histoire d’amour entre Ben, petit-fils du résistant et déporté vendéen Louis Buton et scaphandrier sur l’île d’Yeu, et Anna, professeur en sciences politiques à Berlin, et fille d’un grand violoncelliste allemand. Une rencontre improbable entre un homme, reclus sur son île, qui ne se sent bien que sous l’eau et une femme pleine de vie, à l’aise en société. Tous deux sont dans une quête d’identité et chacun va aider l’autre, à travers le passé qu’ils vont devoir fouiller, remuant des secrets de famille…

Mais encore…
La Mémoire vive
traite de la Résistance, de déportation, de problème d’identité et de secret de famille et est inspiré de l’histoire de Louis Buton, grand-père de Jérémy Banster qui est passé par quatre camps de concentration durant le Seconde Guerre mondiale. L’action se passe de nos jours, entre la Vendée et Berlin.

Qui c’est ?
L’histoire vraie de Louis Buton (1893-1981), vendéen, résistant et déporté. Ancien combattant de 14-18, à cinquante ans, il répondit à l’appel de la Résistance et sut entraîner avec lui des ouvriers, des paysans, des artisans de sa commune. Après l’épreuve des camps, Louis Buton écrivit ses souvenirs sur des cahiers d’écolier à l’intention de sa famille.
Louis Buton est aussi l’arrière-grand-père de Jérémy Banster.

Paroles
La Mémoire vive ne sera pas un biopic sur Louis Buton. Ni un film historique. Je veux faire un film moderne, inscrit dans son temps, en 2022, mais qui va aborder le passé, les secrets, les non-dits.” (Jérémy Banster)