Sur la dalle

Synopsis

Adaptation du roman Sur la dalle de Fred Vargas paru aux éditions Flammarion.

L’attention d’Adamsberg est attirée par un meurtre survenu dans un village breton. Le commissaire s’est récemment lié avec son homologue local dans le cadre d’une autre enquête. Le principal suspect est une personnalité du village, un excentrique, descendant de l’illustre écrivain Chateaubriand. Convaincu de son innocence, Adamsberg prend la direction de la Bretagne, rejoint par toute son équipe parisienne quand les morts se multiplient. Face aux légendes locales et à l’excentricité des habitants, c’est en laissant libre cours à son esprit de déduction qu’il parviendra à résoudre l’énigme.

Note d’intention
Sur la dalle nous offre un voyage dans le quotidien d’une brigade criminelle hors norme sous les ordres du lunatique commissaire Adamsberg qui, selon les enquêtes, va chercher des réponses dans le foisonnement de son imaginaire, à l’affut d’émotions, d’images, d’intuitions que la promenade, la pêche ou la rêverie lui permettent de faire surgir. Dans cette enquête ancrée au cœur de la Bretagne, c’est allongé sur un dolmen que la logique criminelle va lui apparaitre.

Kultur
Paru en 2023, Sur la dalle est le dixième roman de Fred Vargas à mettre en scène le commissaire Jean-Baptiste Adamsberg.
Il s’agit du sixième livre de la “collection Adamsberg” à être porté à l’écran par Josée Dayan après Sous les vents de Neptune (2×90′) en 2008, L’Homme aux cercles bleus (90′) en 2009, L’Homme à l’envers (90′) en 2009, Un lieu incertain (90′) en 2010 et Quand sort la recluse (2×90′) en 2019. Tous ont été adaptés par Emmanuel Carrère avec dans le costume d’Adamsberg Jean-Hugues Anglade.

Quatrième de couv’
— Le dolmen dont tu m’as parlé, Johan, il est bien sur la route du petit pont ?
— À deux kilomètres après le petit pont, ne te trompe pas. Sur ta gauche, tu ne peux pas le manquer. Il est splendide, toutes ses pierres sont encore debout.
— Ça date de quand, un dolmen ?
— Environ quatre mille ans.
— Donc des pierres pénétrées par les siècles. C’est parfait pour moi.
— Mais parfait pour quoi ?
— Et cela servait à quoi, ces dolmens ? demanda Adamsberg sans répondre.
— Ce sont des monuments funéraires. Des tombes, si tu préfères, faites de pierres dressées recouvertes par de grandes dalles. J’espère que cela ne te gêne pas.
— En rien. C’est là que je vais aller m’allonger, en hauteur sur la dalle, sous le soleil.
— Et qu’est-ce que tu vas foutre là-dessus ?
— Je ne sais pas, Johan.