Cinéma
Genre : Epouvante-Horreur
Budget : M€
Stade : Préparation
Dates de tournage : du 6 novembre au 11 décembre 2024
Lieux de tournage : Saint-Florent-des-Bois, Rives-de-l'Yon, Vendée, Loire Atlantique (Région Pays de la Loire)
Réalisation
- Julia Kowalski
- Julia Kowalski
- Grande Ourse Films
- Venin Films
- Orka Film
- New Story
- Ciné+ OCS
- France Télévisions
- CNC (aide au développement, avril 2018, 14.400€)
- Procirep
- Région des Pays de la Loire (aide à la production, 2019, 200.000€)
- Indéfilms (Sofica)
- WTFilms
- Simon Beaufils
- Naelle Dariya
- Maria Wróbel
- Roxane Mesquida
- Wojtek Skibinski
- Kuba Dyniewicz
- Przemyslaw Przestrzelski
- Jean-Baptiste Durand
- Raphaël Thiéry
Synopsis
Nawojka est une jeune polonaise qui vit dans une exploitation de vache laitière. Une voisine, Sandra, arrive en face de l’exploitation et sa présence pose des problèmes dans le village. Nawojka est le personnage principal du film et la présence de la voisine attise sa curiosité.
Précédents synopsis
Naw, 21 ans, travaille à la ferme familiale dans un petit village en Loire-Atlantique. Sa vie paisible et celle des villageois va être bouleversée à l’arrivée de Sandra.
Sandra (35-50 ans) est une femme libre, téméraire, qui n’a pas froid aux yeux et dont la beauté ne laisse personne indifférent(e).
Le film raconte l’histoire de deux femmes : Diane, qui a fait le choix de vivre dans la ferme de son père au sein d’une communauté fermée, et Sandra, sa voisine, dont la complicité éveille les soupçons. Jusqu’à ce qu’elles soient accusées de sorcellerie…
Sorcière est un film d’horreur intimiste, qui tournera autour de la question “comment la société engendre-t-elle des monstres ?”.
“Pour moi, le cinéma est un acte politique. Mon film sera une parabole de la société pour parler de la peur de l’étranger, de l’autarcie. Il est profondément d’actualité, et peut se voir comme un futur proche possible.” (Julia Kowalski)
Kultur
Il s’agit du deuxième long métrage de Julia Kowalski après son premier long, Crache cœur, produit par Les Films de Françoise, en 2016. Depuis, la cinéaste a réalisé le court métrage J’ai vu le visage du diable (2023), produit par Venin Films, qui s’est vu décerner le Grand prix à Clermont-Ferrand 2024 et le Prix Jean-Vigo 2024.