Cinéma
Genre : Comédie
Budget : 3 M€
Stade : Terminé
Dates de tournage : du 12 juin au 30 juillet 2023
Lieux de tournage : Paris, région parisienne (Région Ile-de-France), Strasbourg et ses environs (Région Grand Est)
Réalisation
- Manèle Labidi
- Manèle Labidi
- Kazak Productions
- Arte France Cinéma
- Frakas Productions (Belgique)
- RTBF
- Proximus (Belgique)
- Diaphana Distribution
- Arte
- RTBF
- Proximus (Belgique)
- Canal+
- Prime Video (Amazon) (préachat 2023, 2ème fenêtre)
- Région Grand Est
- Région Ile-de-France
- Strasbourg Eurométropole (aide à la production, 2023, 50.000€)
- Centre du Cinéma et de l'Audiovisuel de la Fédération Wallonie-Bruxelles (aide à la production d’initiative étrangère, 1ère session 2023, 100.000€)
- Fonds Images de la diversité (aide à la production, juillet 2023, 40.000€)
- Totem Films
- Constance Demontoy
- Dorothée Auboiron (enfants)
- Camélia Jordana
- Sofiane Zermani
- Damien Bonnard
Synopsis
Amel et sa famille apprennent que leur propriétaire souhaite récupérer son appartement d’ici quelques mois. Alors que Mouna, sa fille aînée, commence à avoir des visions de Charles Martel, et que leur demande pour un nouveau logement social s’éternise, Amel n’a plus d’autre choix que de se réinventer…
Mélange de chronique sociale et de comédie douce-amère, le portrait d’une famille tunisienne établie en France, au début des années 1990.
Deuxième long métrage de la réalisatrice d’Un divan à Tunis (2020).
Précédent synopsis
Une femme de 35 ans, immigrée tunisienne, veut retourner en Tunisie, parce qu’elle n’aime pas la France dans laquelle elle se sent maltraitée. Mouna, sa fille de neuf ans, qui a grandi en France, elle, veut absolument y rester…
Paroles
“Je veux jouer avec l’hybridité qui habite les personnages et qui fait toute leur humanité : Amel, princesse déchue qui fait le ménage en talons et préfère vivre dans un studio dans un quartier bourgeois que dans un HLM en banlieue ; Mouna, 10 ans, scolarisée dans une école catholique, fan de Kurt Cobain, qui doit cohabiter avec Charles Martel sorti d’une diapo pour conjurer sa peur du rejet lié à ses origines ; Amor, solaire et aimant, qui porte financièrement la famille tant bien que mal est surnommé “Monsieur le Maire” par une partie de la ville.” (Manele Labidi).
Autres infos
11e Festival du film de Saint-Jean-de-Luz 2024 : Compétition.
Les Arcs Film Festival 2024 : sélection Sommet des Arcs – Film de clôture.