Pépite

“Pépite a disparu, Pépite est mon amie, mon amie est une fourmi, une fourmi rouge.”
Ainsi débute la plus incroyable des épopées, voyage initiatique à travers le monde qui ne manquera pas de mettre à rude épreuve, une bien singulière amitié. Celle qui uni un jeune vagabond londonien et une fourmi rouge du désert d’Arizona…

Précédent synopsis
Paris, Exposition Universelle de 1900, pavillon royal de la Grande Bretagne. Sur scène, Alistair Burke, conteur et dresseur de fourmis s’adresse à la foule : sa meilleure amie, une fourmi nommée Pépite, a disparu. Le film déroule ensuite sur le récit de ses aventures, dans un Londres poisseux de l’époque victorienne, dans un navire marchand en direction de New York, dans le désert de l’Arizona en proie à des indiens Apaches, où il rencontra Pépite, jusqu’à Manaus en plein Amazonie.

Quatrième de couv’
Paris, 1900. Alistair, dresseur de fourmis, et Pépite, sa fidèle amie la fourmi rouge, sont invités à l’Exposition universelle pour jouer leur spectacle. Ils y rencontrent Carlos Dupont, un riche aventurier passionné de vol en ballon. Après les avoir invités à un baptême de l’air au dessus de Paris, ce dernier leur propose de l’accompagner à Manaus, au Brésil. Sur place, Alistair et Pépite découvrent la luxuriance de la forêt amazonienne et l’exploitation d’hévéas de la famille Dupont.
Mais, lors d’une excursion, alors qu’un terrible orage s’annonce, Alistair perd de vue Pépite. Sa surprise est immense lorsqu’il la retrouve… recouverte d’or ! Convoitant l’or qu’a découvert Pépite, Carlos et ses ouvriers l’enferment dans un bocal et entravent Alistair, en le sommant de demander à son amie l’origine de ce trésor. Après bien des péripéties, Alistair finit par récupérer Pépite, qui lui raconte les raisons de sa disparition : en voulant explorer la forêt, elle a ressenti le besoin de s’éloigner des hommes et d’explorer la nature sauvage. C’est là qu’elle s’est mise à suivre une de ses congénères autochtones, qui la mènera jusque dans les entrailles de sa fourmilière, située sur un filon aurifère. Bien qu’étrangère, elle est accueillie comme une soeur.
À la fin du récit, Pépite, déçue par la cupidité des hommes, décide de rester vivre avec ses congénères dans la forêt. Après des adieux poignants, Alistair repart avec un bocal rempli d’or qui lui permettra, lors de ses spectacles, comme dans ce livre, de faire revivre cette aventure.
Un magnifique voyage qui n’est pas sans rappeler l’univers de Jules Verne et les grands récits d’aventures du XIXe siècle, véritable parabole du temps présent où s’offre au héros le choix de l’argent, de l’amitié, de la nature et de l’art.