Olympe, une femme dans la Révolution (ex Olympe de Gouges, la révoltée)

Paris, juillet 1793. Quatre ans après la prise de la Bastille et le début de la Révolution. La Terreur règne. Dans ce monde de violences, une constante demeure : les femmes n’ont aucun droit. Olympe de Gouges, femme de lettres et de combats, défie ouvertement Robespierre. Arrêtée par la police d’État, elle est transférée dans une maison d’arrêt en attendant son procès. Au milieu des autres condamnées, Olympe continue son combat.

Des lieux et des scènes
Le tournage s’est déroulé intégralement en Occitanie. Le château Saint-Léonard et la chartreuse Saint-Sauveur ont permis de récréer les scènes d’emprisonnements, le château de Gramont a permis de faire revivre les parcs de Montauban, les rues et les places de Villefranche-de-Rouergue et le château de la Reynerie de Toulouse ont servi à reconstituer l’atmosphère des rues et des salons parisiens en pleine Révolution…

Kultur
Olympe de Gouges, femme de lettres française, est considérée comme l’une des pionnières du féminisme.
Visonnaire et pionnière du féminisme, Olympe de Gouge a élaboré La Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, premier manifeste à oser revendiquer l’égalité entre les hommes et les femmes, qu’elle rédigea en 1791.
Figure de Paris révolutionnaire, elle écrit des pièces contre l’esclavage, montant sa propre troupe de théâtre.
Née le 7 mai 1748 à Montauban sous le nom de Marie Gouze, Olympe de Gouges fut guillotinée le 3 novembre 1793 à Paris.

Précédents synopsis
1793. Robespierre est le chef des Révolutionnaires. Parmi ceux qui dénoncent son despotisme, une femme : Olympe de Gouges. Arrêtée pour comportement antirévolutionnaire, elle est placée dans une maison d’arrêt en attendant son procès. Elle y défie l’ordre établi au nom de la justice pour tous et toutes. Des flash-backs nous apprendront quelle jeune femme, mère, amie, et Révolutionnaire elle fût.