Cinéma
Genre : Drame
Budget : 3,4 M€
Stade : Postproduction
Dates de tournage : du 16 septembre au 8 novembre, puis les 3 et 4 décembre 2024 (37 jours)
Lieux de tournage : Paris, région parisienne (Région Ile-de-France), Lot-et-Garonne (Région Nouvelle Aquitaine)
Réalisation
- Anna Cazenave Cambet
- Anna Cazenave Cambet
- Novoprod
- France 2 Cinéma
- Tandem
- Canal+
- Ciné+ OCS
- France 2
- Région Ile-de-France
- Région Nouvelle-Aquitaine
- Département du Lot-et-Garonne
- Indéfilms (Sofica)
- Cinéaxe (Sofica)
- Cinécap (Sofica)
- Be for Films
- Marie Sonne-Jensen
- Kristy Baboul
- Youna de Peretti
- Morgane Chaillat
- Vicky Krieps
- Antoine Reinartz
- Monia Chokri
- Clotilde Courau
- Viggo Ferreira Redier
- Féodor Atkine
- Park Ji-Min
- Aurélia Petit
- Salif Cissé
- Julien de Saint-Jean
- Jean-Baptiste Durand
Synopsis
Adaptation du roman Love Me Tender de Constance Debré paru aux éditions Flammarion, Prix Les Inrockuptibles 2020.
Avocate et mariée, Clémence décide de tout quitter pour écrire et vivre son homosexualité sans entrave. Mais cela dérange son ex-mari qui veut lui retirer la garde de son fils. Elle entame une longue bataille pour tenter de le récupérer. Mais devra-t-elle renoncer au lien maternel pour pouvoir (sur)vivre ?
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Une mère fait table rase de son passé et fait la découverte de son homosexualité à 40 ans. Elle vit des aventures avec des femmes et en parallèle se bat pour continuer à voir son fils, Paul (10 ans), dont elle a perdu les droits de garde. Le film traite du prix à payer pour vivre cette liberté.
Deuxième long métrage d’Anna Cazenave Cambet, quatre ans après De l’or pour les chiens qui avait été sélectionné à la Semaine de la critique lors de l’édition particulière due au Covid du Festival de Cannes en 2020.
Quatrième de couv’
“Je ne vois pas pourquoi l’amour entre une mère et un fils ne serait pas exactement comme les autres amours. Pourquoi on ne pourrait pas cesser de s’aimer. Pourquoi on ne pourrait pas rompre. Je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas s’en foutre, une fois pour toutes, de l’amour.”
Constance Debré poursuit sa quête entamée avec Play Boy, celle du sens, de la vie juste, de la vie bonne. Après la question de l’identité se pose la question de l’autre et de l’amour sous toutes ses formes, de l’amour maternel aux variations amoureuses. Faut-il, pour être libre, accueillir tout ce qui nous arrive ? Faut-il tout embrasser, jusqu’à nos propres défaites ? Peut-on renverser le chagrin ?