La Plus belle pour aller danser (ex Léo et moi)

Synopsis

Marie-Luce Bison, 14 ans, est élevée par son père dans une joyeuse pension de famille pour seniors dont il est le directeur. C’est bientôt la soirée déguisée de son nouveau collège : son père ne veut pas qu’elle y aille… et de toute façon, elle n’est pas invitée.  Mais poussée par Albert, son meilleur ami de 80 ans, Marie-Luce, s’y incruste, habillée en homme. Quand elle se rend compte qu’on la prend pour un garçon, elle décide d’être ce garçon que tout le monde préfère. À la maison, la relation avec son père se complique.

Une “lumineuse fantaisie”.

Des Chansons pour le dire
“La cover de La Plus belle pour aller danser interprétée par Michelle Richard est une idée d’Eulalie Elsker, qui a collaboré au scénario. Elle m’a fait écouter cette version que j’ai trouvée plus rythmée et qui dégage quelque chose de plus enfantin. Ce qui va bien avec la joie enfantine de Marie-Luce qui se prépare pour retrouver Emile. En revanche, j’ouvre le film sur l’originale de Tout, tout pour ma chérie parce que j’adore Michel Polnareff et que j’aimais le contraste entre les paroles de la chanson et l’attitude du père de Marie-Luce qui a oublié la rentrée scolaire de sa fille, qui est plutôt sur un “Rien, rien pour ma chérie”. Et puis je clos sur Le Premier pas de Claude-Michel Schönberg. C’est cette chanson qui m’a inspiré la scène finale quand son père la conduit à l’école – de la même manière que Je vole de Michel Sardou m’a inspiré celle de La Famille Bélier. J’ai longtemps cherché une chanson de fin. J’en voulais une qui fasse battre mon cœur. Et un jour, à la radio, je tombe par hasard sur Le Premier pas et je me mets à pleurer. Je n’ai pas tout de suite compris pourquoi, mais c’est devenu une évidence. Elle raconte l’adolescence, le fait de ne pas oser dire ses sentiments, d’avoir peur de dire à l’autre qu’on l’aime. C’était parfait pour associer l’histoire du père avec celle de la mère, et raconter ce père qui n’arrive pas à faire le premier pas vis-à-vis de sa fille.” (Victoria Bedos)

Précédents synopsis
Marie-Luce, 14 ans, vit dans une maison de retraite que dirige son père, Vincent, veuf depuis dix ans. Entre son père qui préfère s’occuper des vieux que de s’intéresser à elle et ne veut pas voir que sa fille grandit et a besoin de lui, et le harcèlement qu’elle subit encore une fois dans son nouveau collège, c’est pas l’éclate pour Marie-Luce. La jeune fille a l’impression que personne ne l’aime, ne la regarde. Et elle n’a pas totalement tort… jusqu’à cette soirée déguisée à laquelle elle s’incruste, poussée par son meilleur ami, Albert, 75 ans, qui la déguise en Fanfan La Tulipe (version Gérard Philippe bien entendu). Ce soir-là, à son plus grand étonnement, tout le monde la prend pour un garçon…

Marie-Luce, 14 ans, harcelée au collège, se fait passer pour un garçon à l’occasion d’une soirée, où elle tombe sous le charme d’Emile, qui aime lui aussi les garçons…

Marie-Luce, jeune fille de 14 ans, est la seule enfant à vivre parmi une communauté de personnes âgées gérée par son père. Elle essaye parallèlement de s’adapter à une vie scolaire pas toujours accueillante pour une personne aussi différente.

Géolocalisation
Le film s’est tourné en grande partie en Auvergne-Rhône-Alpes, entre mi-mai et fin juin 2022, dans l’Ain, à Mogneneins et dans la région du Haut-Bugey, notamment à Oyonnax et Izernore, ainsi que dans le Beaujolais (Rhône) à Theizé. Le tournage s’est achevé en Ile-de-France en juillet.

Autres infos

26e Festival du film de comédie de L’Alpe d’Huez 2023 : Prix de la meilleure interprétation féminine (Brune Moulin).

Box office France 
Sortie sur 352 écrans.
#9hdesHalles : 8 entrées
Paris 14h : 238 entrées (15 salles)
1er jour France : 9.034 entrées (dont 2.944 entrées en AVP)
1er week-end France : 48.485 entrées (dont 2.944 entrées en AVP)
1ère semaine France : 64.016 entrées (dont 2.944 entrées en AVP)
Cumul France : 108.753 entrées

Box office Belgique
Cumul Belgique : 2.894 entrées