L’Ensorcelée

Cinéma

Budget : M€

Stade : Production

Dates de tournage : du 21 avril au 7 mai 2025

Lieux de tournage : Carneville, Gratot (Manche, Région Normandie)


Réalisation
  • Jean-Marc Culiersi
Scénario
  • Jean-Marc Culiersi
  • Didier Philippe
  • Régis Berthelier
Musique
  • Boris Boublil
Production
  • Les Films du Lion
  • Arca (Actions Responsables Citoyennes Culturelles)

Synopsis

L’Ensorcelée nous plonge en 1802, au cœur d’une relation tourmentée entre une jeune femme, Jeanne de Feuardent, et un prêtre-chouan, Jéhoël de la Croix-Jugan, dans un pays encore marqué par les sévices de l’Ancien régime et les violences de la Révolution. Jeanne, noble et mésalliée, éprouve une attirance irrépressible, une passion insensée pour ce prêtre dont le visage n’est plus qu’un amas de chair brûlée, séquelle des violences révolutionnaires.
Dans la pénombre d’un ancien ermitage, Jeanne cédera à l’emprise du prêtre-chouan toujours en guerre.

Précédent synopsis
Dans les années qui suivent la Révolution de 1789, Jeanne, noble et mésalliée, vit dans la honte de son mariage avec Thomas le Hardouey, acquéreur de biens d’Eglise.
Lorsqu’elle rencontre l’abbé Jéhoël de la Croix-Jugan, prêtre chouan, défiguré par les Bleus, et puni par l’Eglise pour son activité partisane, elle sombre dans une passion noire et sans retour…

Un film avec un ancrage local : tourné dans la Manche, pour la Manche et ses habitants ; un film qui a pour ambition de valoriser l’image du Cotentin et de la Manche.

Note
Le film emprunte son titre à un roman (paru initialement en feuilleton) de l’écrivain manchois Jules Barbey d’Aurevilly (1808-1889).

Géolocalisation
Ce film – participatif et collaboratif – se tournera au château de Carneville et au château de Gratot.

Paroles
L’Ensorcelée, c’est l’histoire irraisonnée, irrépressible, incroyable d’une femme, fervente croyante, qui a été mariée à un propriétaire terrien qui a fait sa fortune en acquérant des biens d’église et des immigrés (les royalistes qui avaient dû fuir à la Révolution), qui va tomber éperdument amoureuse de Jéhoël de la Croix-Jugan, un prêtre chouan, plus soldat que prêtre, qui a subi des sévices de la part des Bleus, les révolutionnaires, il a été notamment défiguré… Dans notre adaptation, la passion entre Jeanne Le Hardouey et Jéhoël de la Croix-Jugan se cristallise autour d’une messe clandestine dans le bocage normand qui va être violemment réprimée par un bataillon de l’armée républicaine, qu’on appelait communément les Bleus. Il est capturé et torturé, défiguré…” (Jean-Marc Culiersi)