Le Successeur

Cinéma

Genre : Thriller

Budget : 5,8 M€

Stade : Sorti en salles / SVOD

Dates de tournage : à partir du 20 février 2023

Lieux de tournage : Paris, région parisienne (Région Ile-de-France)

Sortie : 21/02/2024


Réalisation
  • Xavier Legrand
Scénario
  • Xavier Legrand
  • Dominick Parenteau-Lebeuf
Musique
  • SebastiAn
Production
  • KG Productions
Coproduction
  • Stenola Productions (Belgique)
  • Métafilms (Québec)
  • France 3 Cinéma
  • RTBF
  • Be tv
  • Shelter Prod (Belgique)
Distribution
  • Haut et Court
  • September Film (Belgique)
Diffusion
  • Canal+
  • RTBF
  • Be tv
  • France 3
  • Radio Canada
Partenaire(s)
  • Procirep (aide au développement, décembre 2019)
  • Creative Europe MEDIA
  • Sodec (aide à la production, 2022-2023)
  • Centre du Cinéma et de l'Audiovisuel de la Fédération Wallonie-Bruxelles (aide à la production, 3e session 2022, 100.000€)
  • Région Ile-de-France (aide à la production, 2023, 202.000€)
  • Téléfilm Canada
  • Taxshelter.be
  • Angoa
  • Cofinova (Sofica)
  • Cofimage (Sofica)
  • Cinéaxe (Sofica)
  • Indéfilms (Sofica)
  • LBPI/La Banque Postale Image (Sofica)
  • Palatine Etoile (Sofica)
  • SG Image (Sofica)
Ventes Internationales
  • mk2 Films
Direction de Production
  • Christine Moarbes
Image
  • Nathalie Durand (AFC)
Casting
  • Maxime Lévesque
Acteurs
  • Marc-André Grondin
  • Yves Jacques
  • Anne-Elisabeth Bossé
  • Blandine Bury
  • Vincent Leclerc
  • Louis Champagne
Presse
  • André-Paul Ricci
  • Tony Arnoux

Synopsis

Adaptation du roman L’Ascendant de Alexandre Postel paru aux éditions Gallimard.

Sébastien Barnès, 33 ans, parisien, se fait appeler Ellias. Fraîchement nommé directeur artistique d’une célèbre maison de Haute Couture française ; sa première collection le propulse au rang de nouveau prodige de la mode. Heureux et accompli, la seule ombre au tableau est une douleur régulière dans la poitrine qui lui fait craindre un arrêt cardiaque à tout moment. Alors qu’il commence un suivi médical, Ellias apprend que son père, Jean- Jacques, dont il n’a plus de contact depuis de nombreuses années vient de mourir d’une crise cardiaque foudroyante. Obligé de retourner au Québec, son pays natal, pour y organiser les obsèques, Ellias va peut-être découvrir si son défunt père ne lui aurait transmis une pathologie ? Le jeune homme est bien loin d’imaginer que, ce que son père lui a laissé, est bien pire et pourrait le condamner à jamais.

Dans son deuxième long métrage après Jusqu’à la garde, Xavier Legrand s’intéresse aux conséquences des perversions d’un père sur son fils Ellias, le personnage central du film : comment cette figure paternelle a façonné l’identité d’Ellias ; comment, contre son gré, le fils finit par s’identifier à un homme qu’il a toujours méprisé ; comment, en somme, l’ombre du père pèse inconsciemment sur son fils. Dans cette histoire apparemment simple, Xavier Legrand fouille les mécanismes qui influent sur Ellias, le plaçant inexorablement au centre d’un drame où il se retrouve totalement isolé, prisonnier de la double vie de son père, incapable d’admettre la vérité – un héros solitaire dans une partie d’échecs de plus en plus complexe.

Précédent synopsis
Ellias Barnès, 30 ans, est le prochain directeur artistique d’une célèbre maison de haute-couture parisienne. Mais alors que les attentes sont élevées, il commence à ressentir des douleurs à la poitrine. Il est alors rappelé à Montréal pour organiser les funérailles de son père, dont il est séparé, et il découvre qu’il a peut-être hérité de bien pire que le cœur fragile de son père…

Quatrième de couv’
Le narrateur, à la demande d’une psychiatre, raconte les événements qui, en l’espace de cinq jours, ont dévasté sa vie.
Tout commence lorsque ce vendeur de téléphones mobiles apprend le décès de son père, avec lequel il entretenait des rapports très lointains. Afin d’organiser les obsèques, le jeune homme se rend dans la petite ville où vivait le défunt et s’installe dans la maison paternelle. Il fait alors une découverte terrifiante qui le plonge, au fil d’un enchaînement insidieux de faux pas, dans une situation cauchemardesque.
On retrouve ici ce qui faisait la force du premier roman d’Alexandre Postel : une narration implacable et ironique, qui donne au récit la forme d’une tragédie. Le sentiment de culpabilité, au centre du texte, génère une atmosphère trouble et inquiétante : jusqu’à la dernière ligne, le lecteur hésite entre l’empathie, la révolte et l’effroi.

Autres infos

71e Festival de San Sebastian 2023 : Compétition.

Festival Cinémania de Montréal 2023 : Compétition Films du Québec. Prix du rayonnement banque nationale pour le meilleur film québécois en production ou en coproduction.

Les Arcs Film Festival 2023 : Compétition officielle. Prix de la meilleure photographie (Nathalie Durand) ; Prix du public.

Box office France 
Sortie sur 133 écrans.
#9hdesHalles : 23 entrées
Paris 14h : 683 entrées (17 salles)
1er jour France : 5.724 entrées (dont 1.532 entrées en AVP)
1er week-end France : 25.918 entrées (dont 1.532 entrées en AVP)
1ère semaine France :  entrées (dont 1.532 entrées en AVP)
Cumul France :  entrées