Cinéma
Genre : Comédie dramatique
Budget : M€
Stade : Sorti en salles / SVOD
Dates de tournage : à partir du 19 juin 2023
Lieux de tournage : Saint-Claude et ses environs, Jura (Région Bourgogne-Franche-Comté), Lyon et sa périphérie (Région Auvergne-Rhône-Alpes)
Sortie : 14/08/2024
Réalisation
- Arnaud Larrieu
- Jean-Marie Larrieu
- Arnaud Larrieu
- Jean-Marie Larrieu
- Bertrand Belin
- Shane Copin
- SBS Productions
- Arte France Cinéma
- Pyramide Distribution
- Arte
- Canal+
- Ciné+ OCS
- CNC (aide au développement, septembre 2022, 30.000€)
- Cinémage (Sofica)
- Avance sur recettes / CNC (février 2023)
- Région Bourgogne-Franche-Comté
- Entourage Sofica
- Procirep
- Pyramide International
- Ronan Leroy
- Irina Lubtchansky
- Karen Hottois
- Karim Leklou
- Laetitia Dosch
- Sara Giraudeau
- Bertrand Belin
- Noée Abita
- Andranic Manet
- Mireille Herstmeyer
- Suzanne de Baecque
- Sabrina Seyvecou
- Robinson Stevenin
- Monica Donati
Synopsis
Adaptation libre du roman Le Roman de Jim de Pierric Bailly paru aux éditions P.O.L.
Aymeric, le beau-père de Jim, a rencontré Florence, sa mère, alors qu’elle était enceinte de six mois. Tous les trois mènent une vie heureuse dans le Jura jusqu’à ce que le père biologique, Christophe, revienne suite à une tragédie personnelle. Aymeric ne trouve plus sa place et, éloigné de l’enfant, il décide de partir faire sa vie ailleurs. Mais des années plus tard, Jim, 23 ans, frappe à sa porte d’Aymeric.
Précédents synopsis
Aymeric retrouve Florence, une ancienne collègue de travail, au hasard d’un soirée à Saint-Claude dans le Haut-Jura. Elle est enceinte de six mois et célibataire. Quand Jim nait, Aymeric est là. Ils passent de belles années ensemble, jusqu’au jour où Christophe, le père naturel de Jim, débarque… Ça pourrait être le début d’un mélo, c’est aussi le début d’une odyssée de la paternité.
Une fresque romanesque s’étalant sur 25 années. Aymeric n’est pas le père de Jim mais c’est tout comme. Il a rencontré Florence, la mère, alors qu’elle était enceinte de six mois. Il a 25 ans, elle en a quarante. Aymeric est là au moment de l’accouchement et ils vivent heureux tous les trois dans le Haut-Jura pendant quelques années… jusqu’à ce que le père biologique, Christophe, revienne suite à une tragédie personnelle. Ce dernier s’immisce peu à peu dans la famille. Aymeric ne trouve plus sa place, doit s’éloigner et est progressivement relégué au rôle de “parrain”. Florence et Christophe décident de prendre un nouveau départ et partent vivre avec Jim sur un autre continent. C’est un déchirement pour Aymeric comme pour l’enfant.
Aymeric n’a brutalement plus de nouvelles. Il change de métier et de lieu de vie pour tenter de se reconstruire. Des années plus tard, Jim, 23 ans, frappe à la porte d’Aymeric…
Un film sur la parentalité, la paternité contrariée.
Les Notes pour le dire
“Tralala nous a confortés sur le fait que l’on pouvait mêler plusieurs sources. Donc, nous n’avions plus de tabou sur l’idée de faire travailler deux compositeurs. Bertrand Belin étant présent en tant qu’acteur, il y avait une évidence à ce qu’il participe à la musique du film. Il a trouvé le thème mélodique principal très vite, sur le plateau de tournage. Il fallait jouer le jeu d’un mélo fondé à la fois sur le temps qui passe, l’enfance, les séparations et les retrouvailles, mais aussi l’ouverture de nouveaux chapitres dans la vie d’Aymeric. Nous voulions éviter la nostalgie…” (Jean-Marie Larrieu)
“L’orchestration amène une géographie musicale que nous aimons beaucoup. Il y a un mélange de violons, de guitares électriques, de piano, de cloches, de tambours indiens… qui fait que le sentimental se retrouve soudain sous le ciel des grands espaces du western. Les plateaux du Haut Jura prennent un air de Montana. La petite “tribu” a droit au drame universel. Le rural et l’intime prennent des accents épiques…” (Arnaud Larrieu)
“Les scènes de la fin prévues aux Nuits Sonores, le festival de musique électro à Lyon, imposaient autre chose. Nous avons réalisé des enregistrements sur place et avons ensuite fait appel à Shane Copin, qui a 23 ans, pour obtenir une musique compatible avec la dramaturgie, à la fois live mais secrètement musique de film. On était décoiffés par ce qu’il nous proposait. Une sorte d’évidence tranchante de la première inspiration…” (Jean-Marie Larrieu)
“Il s’est passé une chose assez forte dont nous avons pris conscience plus tard : la musique de Bertrand Belin incarne le personnage principal, Aymeric, mais aussi notre génération, celle des cinquantenaires, les pères. L’électro de Shane correspond plutôt à Jim. C’est la musique du fils. Pas simplement dans le genre, l’électro, mais aussi dans la manière : un « cœur-tempo » qui bat très vite, au milieu de nappes planantes et mélancoliques.” (Arnaud Larrieu)
Quatrième de couv’
À vingt-cinq ans, après une séparation non souhaitée et un séjour en prison, Aymeric, le narrateur, essaie de reprendre contact avec le monde extérieur. À l’occasion d’un concert, il retrouve Florence avec qui il a travaillé quelques années plus tôt. Florence est plus âgée, elle a maintenant quarante ans. Elle est enceinte de six mois et célibataire. Jim va naître. Aymeric assiste à la naissance de l’enfant, et durant les premières années de sa vie, il s’investit auprès de lui comme s’il était son père. D’ailleurs, Jim lui-même pense être le fils d’Aymeric. Ils vivent tous les trois dans un climat harmonieux, en pleine nature, entre vastes combes et forêts d’épicéas. Jusqu’au jour où Christophe, le père biologique du garçon, réapparaît. La relation entre Aymeric et Jim, l’enfant de Florence, est le coeur de l’intrigue. C’est un roman sur la paternité. Aymeric sera séparé de Jim. Il va souffrir d’un arrachement face auquel il ne peut rien. Mais se donne-t-il vraiment les moyens de s’en sortir ? Aymeric multiplie les contrats précaires dans la grande distribution, les usines de plasturgie ou la restauration rapide. Plus tard, il est même photographe de mariage. Une grande partie de l’histoire se déroule à Lyon. Jusqu’au bout, Aymeric reste obsédé par cet enfant qu’il a vu naître et grandir, et qui lui a été enlevé, avec lequel il ne sait pas toujours observer la bonne distance, ni occuper la bonne place.
Autres infos
77e Festival de Cannes 2024 : Sélection officielle – Cannes Première.
Prix Ecoprod 2024 (ex-aequo).
Festival de cinéma et de musique de films de La Baule 2024 : Compétition.
Box office France
Sortie sur 318 (660) écrans.
#9hdesHalles : 45 entrées
Paris 14h : 1.164 entrées (27 salles)
1er jour France : 28.343 entrées (dont 7.989 entrées en AVP)
1er week-end France : 113.951 entrées (dont 7.989 entrées en AVP)
1ère semaine France : entrées (dont 7.989 entrées en AVP)
Cumul France : 349.130 entrées (au 10 septembre 2024)