Télévision
Format : 6 x 52′
Genre : Policier Historique
Budget : M€
Stade : Développement
Scénario
- David Hourrègue
- Samir Oubechou
- Cherif Saïs
- Banijay Studios France
Synopsis
Adaptation de la série de romans sur les enquêtes de M. de Mortagne, bourreau de Andrea H.Japp paru aux éditions Flammarion.
Quatrième de couv’
Tome 1, Le Brasier de justice
1305. Normandie. Depuis quelques jours, Hardouin cadet-Venelle, bourreau de Mortagne-au-Perche, est en proie au tourment : la justice de Dieu serait-elle faillible ? Marie de Salvin, qu’il vient de brûler vive, hante ses rêves. Etait-elle réellement coupable ? Evangeline Caquet a-t-elle tué, cinq ans plus tôt, sa maîtresse à coups de hachette ? Sa quête de vérité se heurte aux fausses pistes et aux intérêts politiques des grands du royaume. Hardouin arrivera-t-il à concilier sa tâche de bourreau et celle de justicier sans perdre son âme ?
Tome 2, En ce sang versé
Hardouin cadet-Venelle, dit Monsieur Justice de Mortagne, est bourreau de son état. Torturer et tuer ne le gênaient pas jusqu’à ce qu’il exécute une innocente. Depuis, il cherche à rendre la “vraie justice”. Aussi, quand Henriette, la fille du sous-bailli Arnaud de Tisans, moniale à l’abbaye des Clairets, est retrouvée étranglée à la porte du monastère, il lui faut connaître la vérité. Crime gratuit ou crapuleux ? Et que vient faire dans ce drame Mahaut de Vigonrin, belle dame accusée d’empoisonnements ? M de Mortagne, que ses ennemis appellent Jean-Cadavre, est prêt à tout pour que le vrai droit soit rendu, mais la justice est implacable et ceux qui la désirent, rarement récompensés.
Tome 3, La Tour d’abandon
Début du XIVe siècle. Hardouin Cadet-Venelle, bourreau, n’a jamais porté sa charge comme un fardeau jusqu’à ce qu’il sangle sur le brasier Marie de Salvin, une innocente. Une quête l’anime depuis : faire vraie justice. Mais le voilà confronté à une affaire de poison, à des meurtres et, pire encore, à la disparition d’enfants confiés aux tours d’abandon. M. Justice de Mortagne ne reculera devant rien pour résoudre ces mystères, ni la férocité, ni la ruse, ni l’amour, ignorant que le plus blessant des trois n’est pas celui qu’il croit.