La Maman du bourreau (ex Je suis la maman du bourreau)

Télévision

Format : 90′

Genre : Drame

Budget : M€

Stade : Tournage

Dates de tournage : du 3 au 30 mai 2024

Lieux de tournage : Charente (Région Nouvelle Aquitaine)


Réalisation
  • Gabriel Aghion
Scénario
  • Gabriel Aghion
  • Stéphanie Kalfon
Production
  • Mon Voisin Productions
Coproduction
  • France Télévisions
Diffusion
  • France 3
  • TV5 Monde
Ventes Internationales
  • Mediawan Rights
Image
  • Jean-Claude Larrieu
Casting
  • Fanny de Donceel
Acteurs
  • Marie-Christine Barrault
  • Laurent Stocker
  • Xavier Robic

Synopsis

Adaptation du roman Je suis la maman du bourreau de David Lelait-Helo paru aux éditions Héloïse d’Ormesson.

Du haut de ses 80 ans, Gabrielle de Miremont semblait inatteignable. Figée dans l’austérité de la bonne bourgeoisie catholique dont elle est l’incarnation. Sa devise : “Ne jamais rien montrer, taire ses émotions”. Jusqu’à ce matin-là, où un gendarme vient lui annoncer la mort de son fils. Son enfant adoré, le père Pierre-Marie, sa plus grande fierté. Gabrielle ne vacille pas, mais une fois la porte refermée, le monde s’écroule. Cet effondrement, pourtant, prend racine quelques semaines plus tôt, à la suite d’un article de presse révélant une affaire de prêtres pédophiles dans la région. “Et si c’était mon fils, que ferais-je ?”.

Quatrième de couv’
Prier Dieu, se vouer au Diable.
Du haut de ses quatre-vingt-dix ans, Gabrielle de Miremont semblait inatteignable. Figée dans l’austérité de la vieille aristocratie catholique dont elle est l’incarnation. Sa devise : “Ne jamais rien montrer, taire ses émotions”. Jusqu’à ce matin-là, où un gendarme vient lui annoncer la mort de son fils. Son fils cadet, son enfant préféré, le père Pierre-Marie, sa plus grande fierté. Gabrielle ne vacille pas, mais une fois la porte refermée, le monde s’écroule. Cet effondrement, pourtant, prend racine quelques semaines plus tôt, à la suite d’un article de presse révélant une affaire de prêtres pédophiles dans sa paroisse. Révoltée par cette calomnie, Gabrielle entreprend des recherches. Des recherches qui signeront sa perte. Ou sa résurrection.
Je suis la maman du bourreau raconte avec une subtilité et une justesse époustouflantes le calvaire d’une mère murée dans son chagrin. Un portrait dérangeant, qui touche au cœur, et rend un hommage vibrant à ceux qui osent dénoncer l’innommable.