Vitrival Travail (ex La Grande patrouille)

Cinéma

Genre : 1er LM Comédie policière

Budget : M€

Stade : Développement


Réalisation
  • Noëlle Bastin
  • Baptiste Bogaert
Scénario
  • Noëlle Bastin
  • Baptiste Bogaert
Production
  • Naoko Films (Belgique)
Coproduction
  • Umedia (Belgique)
Partenaire(s)
  • Ufund (Belgique)
  • Centre du Cinéma et de l'Audiovisuel de la Fédération Wallonie-Bruxelles (aide à la production légère, 2021, 125.000 €)
  • Pitch (sélection “Productions légères” 2022)

Synopsis

Adaptation libre du roman Robledo de Daniele Zito paru aux éditions Christian Bourgois.

Vitrival. Un village wallon sans histoires. Deux cousins flics en patrouilles. Un tracteur volé et une vague de suicides au travail. Des fêtes et des habitants déguisés. Des prédictions funestes sur Radio Chevauchoir. C’est quoi ce bazar ?

La Grande patrouille est une comédie loufoque qui entend explorer la vie à la campagne.

Précédent synopsis
À Vitrival, deux cousins policiers font face à une mystérieuse vague de suicides au travail.
Un village wallon. Des suicides sur des lieux de travail. Deux cousins policiers qui patrouillent en écoutant la radio locale.

Quatrième de couv’
Travailler sans être payé : une habitude qui, pour beaucoup, est le prix à payer pour accéder aujourd’hui au monde du travail. Mais si, au lieu d’être une étape obligatoire, il s’agissait d’un choix conscient ou, pire, le fruit d’une obsession.
Si, là dehors, il y avait des personnes qui travaillaient pour le simple plaisir de travailler, de se rendre chaque jour au même endroit pour mettre leur tenue de travail et, pendant huit, neuf, dix heures, se mêler aux autres dans le seul but de donner un sens à leurs journées, serions-nous capables de les comprendre ?
Saurions-nous raconter leur histoire ?
C’est ce qu’a fait Michele Robledo, journaliste italien, en menant une grande enquête sur les travailleurs non conventionnels, leur opiniâtre obstination, leur délirant “parcours de libération”. Le phénomène déclenche une violente polémique et amène tout le monde à s’interroger : qui est vraiment Michele Robledo ? Un brillant journaliste, un idéologue diabolique ou un charlatan ayant inventé le plus gros canular de tous les temps ?
Avec Robledo, Daniele Zito explore une thématique importante du monde contemporain : le travail précaire. Les références à une certaine littérature sud- américaine – Borges et Bolaño entre autres – sont évidentes. Le style, des phrases brèves, tranchantes, rappelle le Palahniuk de Fight Club.