La Gradiva

Synopsis

Un petit groupe de lycéens français part en voyage scolaire à Pompéi pour découvrir ses ruines et ses corps pétrifiés par le Vésuve en 79 de notre ère. C’est dans cette ville fantôme que le vertige les saisit brutalement. L’un après l’autre, James, Toni, Suzanne et leur professeure de latin Mme Mercier se laissent submerger par le désir, la colère et le désespoir jusqu’à s’y abandonner complètement et tout perdre.

Un film qui assume le mélodrame façon Douglas Sirk, où il est question de fantasmes, de déterminisme social et de secret de famille, dixit la jeune réalisatrice, Marina Atlan.

Paroles
“La Gradiva change d’échelle peu à peu. Le début a les airs d’un teen movie léger où les désirs des adolescents semblent au coeur du monde, puis le regard s’ouvre pour laisser apparaître des ramifications et des mouvements plus amples. La mise en scène suivra cette logique : le début du film sera réaliste, avec un dispositif laissant de la place à l’écriture au plateau et petit à petit le film deviendra un mélodrame, assumant son lyrisme.” (Marine Atlan)

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Des lycéens français partent en voyage scolaire à Pompéi pour découvrir ses ruines et ses corps pétrifiés par le Vésuve en 79 de notre ère. C’est dans cette ville fantôme que le vertige les saisit brutalement. L’un après l’autre, James, Toni et Suzanne se laissent submerger par le désir, la colère et le désespoir jusqu’à s’y abandonner complètement et tout perdre…

Kultur
Premier long métrage de celle qui fut directrice de la photo sur Jessica Forever de Caroline Poggi et Jonathan Vinel, Nos cérémonies de Simon Rieth, Le Ravissement d’Iris Kaltenbäck ou encore Chambre 999 de Lubna Playoust. Rappelons que Marine Atlan a déjà signé deux courts : Les Amours vertes, Grand Prix à Clermont-Ferrand en 2016, et Daniel fait face en 2019.