Kersauson, le chant de l’océan

Cinéma

Genre : 1er LM Documentaire

Budget : 2,7 M€

Stade : Développement


Réalisation
  • Clément Beauvais
  • Arthur de Kersauson
Scénario
  • Clément Beauvais
  • Arthur de Kersauson
Production
  • Mercenary Production
  • Orson Films

Synopsis

Adaptation des romans Ocean’s Songs et Promenades en bord de mer et étonnements heureux de Olivier de Kersauson publiés aux éditions Le Cherche Midi.

Le film mettra en scène de façon spectaculaire et cinématique la vision du monde et l’expérience du navigateur Olivier de Kersauson, dans un grand voyage aux quatre coins de la Terre mis en images par une équipe et des moyens techniques exceptionnels (65mm/8K).

Quatrième de couv’
– Ocean’s Songs
Olivier de Kersauson brosse le portrait de ses mers comme il pourrait dresser celui d’une femme. “Prendre la mer, c’est tout sauf une fuite, c’est au contraire une discipline et une contrainte. Décider d’aller chevaucher les vagues, c’est une conquête et, pour conquérir, il faut partir. C’est l’extraordinaire tentation de l’immensité. La mer, c’est le cœur du monde. Vouloir visiter les océans, c’est aller se frotter aux couleurs de l’absolu. Il m’a toujours semblé indécent de ne pas aller voir partout dans le monde. Il me fallait partir sur tous les océans, découvrir tous les ports… Pour moi, c’est vital : puisqu’on est dans le monde, il faut le courir.” Partant du principe que l’homme libre part pour apprendre et revient pour rendre compte, Olivier de Kersauson a décidé de raconter sa géographie maritime. Il fait le portrait de ses mers comme il pourrait dresser le portrait d’une femme. Il nous révèle, surtout, son destin singulier de skipper d’exception. Pour la première fois peut-être, dans Ocean’s Songs, il se dévoile.
– Promenades en bord de mer et étonnements heureux
Ce livre est un récit d’un genre neuf, celui du style de vie d’un marin considérable doublé d’un poète. “Quand je regarde la mer, je me promène dans le temps du monde.” Vous l’ouvrirez à n’importe quelle page, il n’y a pas d’ordre dans les plaisirs, pas de classement dans les enchantements. C’est de ceux-là dont Olivier de Kersauson nous entretient. Voici donc le catalogue original d’un esthète singulier amoureux de la mer. “Il y a des artistes qui peignent des tableaux. Moi, je peins le sillage blanc sur le bleu des mers.”