Une affaire de principe (ex Daly Gate, ex Interpol)

Cinéma

Genre : Thriller politique

Budget : 6,79 M€

Stade : Postproduction

Dates de tournage : du 31 juillet au 19 octobre 2023 (40 jours)

Lieux de tournage : Bruxelles (Belgique), Strasbourg et ses environs (Région Grand Est), Région Provence-Alpes-Côte d'Azur


Réalisation
  • Antoine Raimbault
Scénario
  • Antoine Raimbault
  • Marc Syrigas
Production
  • Agat Films & Cie (Marc Bordure)
  • Memento Films Production
Coproduction
  • France 3 Cinéma
  • La Compagnie Cinématographique (Belgique)
Distribution
  • Memento Films Distribution
Diffusion
  • Canal+
  • Ciné+
  • France 3
Partenaire(s)
  • Avance sur recettes / CNC (4e session 2022 du second collège)
  • Région Grand Est
  • Strasbourg Eurométropole (250.000€)
  • Cofinova (Sofica)
  • Indéfilms (Sofica)
  • Cinéventure (Sofica)
  • Cinécap (Sofica)
  • LBPI/La Banque Postale Image (Sofica)
  • Centre du Cinéma et de l'Audiovisuel de la Fédération Wallonie-Bruxelles (aide à la production, 2e session 2023, 100.000€)
Ventes Internationales
  • Charades
Direction de Production
  • Stéphane Bouchard
Image
  • Steeven Petitteville (AFC)
Casting
  • Laure Cochener
Acteurs
  • Bouli Lanners
  • Céleste Brunnquell
  • Thomas VDB

Synopsis

D’après l’ouvrage Hold-up à Bruxelles de José Bové et Gilles Luneau paru aux Éditions La Découverte.
D’après une enquête journalistique de Mathieu Martinière et Robert Schmidt.

Choqués par le limogeage dans la plus grande opacité du commissaire à la Santé de la Commission Européenne, un eurodéputé et ses assistants parlementaires vont se lancer dans une enquête depuis les coulisses du Parlement et mettre au jour un véritable complot ourdi par le lobby du tabac.

Un thriller politique sur les lobbies du tabac au sein de la Commission européenne, inspirée de faits réels.

Kultur
Pendant cinq ans, deux journalistes indépendants, l’un français, Mathieu Martiniere, l’autre allemand, Robert Schmidt, ont mené une investigation sur trois continents sur l’Organisation internationale de police criminelle (Interpol).
Interpol, la mythique police mondiale, souffre d’un sous-financement chronique. Ses 192 États membres ne mettent pas suffisamment la main à la poche. Aussi, en 2000, Ronald K. Noble, son secrétaire général, de nationalité américaine – une première pour une institution qui, auparavant, puisait ses dirigeants dans le vivier européen –, lui fait prendre un virage à 180 degrés. L’organisation se lance alors dans d’ahurissants partenariats public/privé avec des multinationales (Philip Morris International, Sanofi…), des institutions accusées de corruption (la Fifa), et encaisse les chèques mirobolants d’États controversés (Qatar, Émirats arabes unis…).
Ces financements influent sur les enquêtes de l’organisation, engendrant de graves conflits d’intérêts. Interpol connait aussi quelques dérives : des notices rouges (les célèbres avis de recherche d’Interpol) instrumentalisées pour traquer des dissidents chinois ou turcs, une coopération insuffisante entre États membres…