Francs tireurs

Télévision

Format : 6 x 52′

Budget : M€

Stade : Développement


Scénario
  • Samuel Luret
  • Audrey Sanchez
Production
  • Champs-Libre Films

Synopsis

Adaptation de l’ouvrage de récits Jours de crimes de Pascal Robert-Diard et Stéphane Durand-Souffland paru aux Editions Iconoclaste.

Quatrième de couv’
Trahison, mort, passion, drames. Ici tout est vrai.
À la barre, l’intimité se dévoile. On se passionne pour ces histoires. Des hommes et des femmes dont on ignore tout nous deviennent familiers. Mais c’est aussi au cœur de nous-mêmes que les auteurs nous entraînent. On se surprend à se confondre avec certains, citoyens presque ordinaires, nos semblables, dont la vie a dérapé. On pleure et on rit, on connaît la colère, le dégoût ou l’empathie. Chaque scène rapportée, chaque récit de ces mille et un morceaux est un moment d’émotion.
Les deux plus grands chroniqueurs judiciaires français arpentent depuis quinze ans les palais de justice et livrent ici le meilleur de ce qu’ils y ont vécu, en mille et un éclats haletants, tragiques ou tendres.
La comédie humaine sur les bancs des tribunaux
Les palais de justice sont l’antichambre du désordre humain, le théâtre de l’extrême. De ce théâtre-là, les auteurs nous livrent les récits de crime, dialogues d’anthologie, face-à-face saisissants. Mais aussi les coulisses et petites habitudes de ses résidents – juges, chroniqueurs, avocats… Rien ne leur échappe ; aucun regard, aucune esquive, aucune ficelle. Ici on croise Yvan Colonna et le préfet Érignac, Guy Georges ou Michel Fourniret, les accusés d’Outreau, deux mères éplorées, chacune à sa façon – celles de Marie Trintignant et de Bertrand Cantat -, mais aussi toutes les célèbres voix du barreau : Hervé Temime, Georges Kiejman ou Éric Dupond-Moretti. Au fil de ce voyage dans la France des cours d’assises et des tribunaux se mêlent amants naïfs et grands voyous, vieillards amoureux et maris assassins, tueurs en série et criminels d’occasion, fous et écrivains, mendiants et milliardaires, enfants brisés et femmes perdues. À la langue austère des juges répond la gouaille des caïds, aux “mots des pauvres gens”, l’éloquence des ténors. Nous voilà jurés à notre tour, confrontés au Bien et au Mal, et à ce rôle inouï de juger des frères humains.