Déchaînées*

Dans le monde du ballet. Le célèbre danseur et chorégraphe Angelin Preljocaj entreprend de donner des leçons de danse à des femmes incarcérées.

Une chronique émouvante.

Kultur
Ce long métrage de fiction se situe dans la lignée du documentaire Danser sa peine (2019), dans lequel la cinéaste filmait (à nouveau) le travail d’Angelin Preljocaj, cette fois auprès de femmes incarcérées à la prison des Baumettes à Marseille ; un film récompensé par le Grand Prix Documentaire national au Fipadoc.
Dans Danser sa peine, Sylvia, Litale, Sophia, Annie et Malika, incarcérées aux Baumettes à Marseille dans le quartier des longues peines, suivaient, pendant quatre mois, deux fois par semaine, l’atelier du célèbre chorégraphe Angelin Preljocaj. Le film raconte l’histoire de ce projet audacieux d’entraîner et de faire danser les détenues qui se produiront hors les murs sur une scène prestigieuse, celle du Pavillon noir à Aix et à Montpellier au Festival international de la danse.