Cinéma
Genre : Drame 1er LM
Budget : 2,63 M€
Stade : Développement
Réalisation
- Marylise Dumont
- Marylise Dumont
- Jean-Luc Gaget
- Alexandre Manneville
- Shellac Sud
- Sutor Kolonko Filmproduktion (Allemagne)
- Shellac
- CNC (aide à la réécriture)
- Région Provence-Alpes Côte d'azur (aide au développement)
- Procirep-Angoa
- Industry Village des Arcs Film Festival - Village des coproductions (décembre 2018)
- Rencontres de coproduction francophone (RCF) (Luxembourg, novembre 2019)
- Gemma Arterton
Synopsis
Chloé mène une vie paisible auprès de sa fille EEva et de son mari, chirurgien prospère, dans une ville aux abords d’une forêt. Un jour, elle renverse en voiture un grand chien noir errant puis le ramène chez elle. Son attachement pour l’animal grandit, jusqu’au jour où il mord sauvagement au visage l’amie d’Eva. Alors qu’elle devrait le faire piquer, Chloé, fascinée par l’animal, le libère dans les bois. Mais il revient rôder toutes les nuits et bientôt d’autres chiens le rejoignent, jusqu’à former une meute qui menace les habitants et sème le chaos et la terreur. Une violence cataclysmique déferle sur la ville, Chloé va affronter la meute…
Précédent synopsis
Chloé est une femme apparemment sans histoire. Un jour, elle renverse en voiture un grand chien noir, qu’elle ramène chez elle. Mais le chien ne tarde pas à mordre au visage une amie de sa fille. Alors qu’elle devrait le faire piquer, Chloé libère le chien en bordure d’une forêt. Loin d’effacer l’incident, cette libération marque le début de la sienne : la discrète Chloé prend en main son existence, rompant avec la vie qu’elle menait jusqu’alors. Mais sa famille, et la société toute entière, seront-ils prêts à accepter cette animalité nouvelle ?
Paroles
“Le film se situe aux portes du fantastique : le chien constitue un élément qui relève du merveilleux. Il débarque dans la vie de cette femme et la fait basculer dans un monde sauvage. Toutefois, l’univers fantastique des Oiseaux d’Hitchcock est plus proche de Chien noir, que celui de La Féline de Le Tourneur. En effet, la métamorphose du personnage féminin suite à la rencontre avec le chien noir reste en premier lieu intérieure, et l’agitation de la petite ville, avec son ancrage social réaliste, n’est pas sans rappeler celle de Bodega Bay. À la fin, lorsque les animaux de la forêt envahissent la ville, le film évolue vers un imaginaire de fin du monde qui évoque La Dernière vague de Peter Weir.” (Marylise Dumont)