Bergeronnette

Cinéma

Genre : Animation

Budget : M€

Stade : Développement


Réalisation
  • Lucrèce Andreae
Scénario
  • Lucrèce Andreae
  • Jérémie Moreau
Production
  • Miyu Productions
Partenaire(s)
  • La Sélection Groupe Ouest/Fondation Gan (2018)
  • Pitchs Mifa / Annecy Festival (2024)

Synopsis

Pierre sera berger, comme son père. Sérieux et autoritaire. Mais il est tout le contraire ! Alors la nuit, il court en cachette prendre une bouffée d’air auprès d’une bonne femme au sacré caractère. Et si, au fond de lui, il était un peu sorcière ?

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Petit Pierre est surnommé Bergeronnette par ses sœurs. Il est à l’image même de ce petit oiseau joli et gai, ce
 qui ne plaît pas tellement au rude paysan qu’est son père. Un jour, il découvre Jeanne, une sorcière rassie-aigrie qui exècre les hommes pour ce qu’ils ont fait vivre
 à ses consœurs lors de la chasse aux sorcières. Émerveillé par les dons de la guérisseuse, Petit Pierre se verrait bien lui aussi devenir une sorcière !

Note d’intention
“Bergeronnette est un projet de long métrage d’animation au ton frais et enchanteur, s’adressant à un public familial. Le film met en scène dans un écrin de paysages landais une poignée de personnages attachants et profonds :
 un père dont l’extrême piété cache une peur terrible, trois sœurs qui s’occupent de la ferme d’une poigne d’homme, une sorcière au caractère de cochon, grande détentrice 
de savoirs ancestraux et un jeune garçon candide en quête de sa valeur intrinsèque.
Tout en s’inscrivant dans une certaine tradition
 du dessin animé classique, ce film tient sa modernité
de l’éclairage tout particulier qu’il réserve à certains thèmes. Il prend un malin plaisir à mettre en scène des personnages toujours à la limite des définitions étriquées de l’homme, de la femme et questionne ainsi la notion 
de genre. D’autre part, attiré par les thèmes de la peur,
 de la haine et des conséquences sur l’homme d’un passé trop lourd, il tente de remplacer la mauvaise habitude
 du manichéisme par une vision complexe et nuancée
 du bien et du mal.” (Lucrèce Andreae)