Cinéma
Budget : 2,5 M€
Stade : Postproduction
Dates de tournage : du 16 septembre au 16 octobre 2024
Lieux de tournage : Tanger
Réalisation
- Meryem Benm'Barek
- Meryem Benm'Barek
- Tessalit Productions
- Furyo Films
- Agora Films (Maroc)
- Novak Prod (Belgique)
- Chi-Fou-Mi Productions
- Pyramide Distribution
- Ciné+ OCS
- TV5 Monde
- Ateliers de l'Atlas (Festival du film de Marrakech) (2022)
- Fonds Image de la Francophonie - OIF (aide à la production, mai 2024, 40.000€)
- Centre du Cinéma et de l'Audiovisuel de la Fédération Wallonie-Bruxelles (aide à la production, 1ère session 2024, 100.000€)
- CCM (Centre cinématographique marocain)
- Pyramide International
- Son Doan
- Sara Giraudeau
- Driss Ramdi
- Carole Bouquet
- Olivier Rabourdin
- Rachel O'Meara
- Nadia Kounda
Synopsis
À Marrakech, Mehdi mène une vie exemplaire auprès de sa famille et de Selma, sa nouvelle petite amie. Pour le jeune couple, tout se passe à merveille jusqu’à ce que Mehdi fasse la rencontre de Marie, une jeune expatriée française à la vie mondaine.
Paroles
“Behind the Palm Trees se présente comme une romance mais glisse progressivement vers un thriller psychologique à l’atmosphère crépusculaire. Mon film raconte une histoire d’amour entre Medhi, jeune marocain modeste, et Marie, jeune expatriée française à la vie luxueuse. Mais derrière les palmiers, se joue aussi “la grande Histoire”, celle qui raconte les rapports de domination qui existent encore entre mes deux pays, le Maroc et la France. Je souhaite avec ce film, suivre une passion qui se consumera du fait des différences culturelles, économiques et sociales. J’aimerais interroger notre rapport individuel à l’amour et l’égalité au sein du couple, mais aussi questionner l’amour dans sa dimension politique afin de scruter la manière dont la famille – et plus largement la société – s’infiltre dans l’intime. Ce film est avant tout l’histoire de la faillite d’un homme, qui aura tout donné pour l’illusion d’un bonheur parfait et de la réussite sociale, mais qui sera condamné à revenir auprès des siens.” (Meryem Benm’Barek)