The Magician of Auschwitz

Cinéma

Genre : Drame

Budget : M€

Stade : Financement

Dates de tournage : début 2025

Lieux de tournage : Europe


Réalisation
  • Jaco Van Dormael
Scénario
  • Jacob Marx Rice
Production
  • Belga Studios

Synopsis

Adaptation des ouvrages The Magician of Auschwitz et The Birkenau Scrolls de José Rodrigues Dos Santos.

Paroles
“La particularité de ce film est que Dos Santos jette un éclairage historique rare sur les croyances délirantes sur lesquelles reposaient les théories raciales des nazis. Les chefs SS étaient fascinés par le mysticisme et l’occultisme, convaincus que la race aryenne était une race divine venue de l’Atlantide après la chute de six lunes sur la Terre. Les Atlantes, un peuple de surhommes, se seraient répandus en Allemagne et au Tibet. Jésus, selon leur histoire, était un Aryen persécuté par les Juifs. Ce sont ces croyances délirantes que le magicien d’Auschwitz utilise dans ses tours de magie pour survivre au cœur de l’enfer. Le propos de ce film est que toute guerre repose sur une fiction. Il faut créer une fiction pour désigner un ennemi. Des fictions sur lesquelles se fondent les racismes, les nations, les guerres et les holocaustes. Grâce aux précieux manuscrits retrouvés enterrés près des crématoires, Dos Santos, adapté au scénario par Jacob Marx Rice, nous rapproche de l’histoire… Dans le film, les protagonistes naviguent dans le paysage inhumain d’Auschwitz, se tournant vers la magie comme forme d’évasion et source d’espoir. Comme le dit le héros : “Le secret de la magie est simple. Nous ne croyons pas ce que nous voyons. Nous voyons ce que nous croyons”. Dans un monde assombri par des croyances irrationnelles, le film met les spectateurs face à des vérités inconfortables et les invite à témoigner de la résilience de l’esprit humain.” (le réalisateur Jaco Van Dormael)
“Notre histoire aborde de manière originale le thème de la tromperie – la tromperie de masse, la tromperie du public à travers la perspective d’un magicien, et aussi la tromperie de soi. Elle explore l’incrédulité et le déni dans lesquels les gens peuvent se réfugier pour faire face à des atrocités accablantes.” (le producteur Jean-Jacques Neira)