Personne n’a peur des gens qui sourient

Cinéma

Genre : Thriller

Budget : 2,67 M€

Stade : Financement


Réalisation
  • Vanja D'Alcantara
Scénario
  • Vanja D'Alcantara
  • Stéphane Cabel
Production
  • Iota Production (Belgique)
  • Duno Films
  • ACPAV (Canada)
Partenaire(s)
  • Centre du Cinéma et de l'Audiovisuel de la Fédération Wallonie-Bruxelles (aide à l’écriture, 1ère session Commission du Cinéma 2022, 12.500€)
  • Forum Alentours (juin 2023)
  • Rencontres de coproduction francophone (RCF) (novembre 2023)
Acteurs
  • Virginie Efira

Synopsis

Adaptation du roman Personne n’a peur des gens qui sourient de Véronique Ovaldé publié aux éditions Flammarion.

Gloria, hantée par un passé trouble, fuit avec ses deux filles pour se réfugier dans la maison de son enfance, au bord d’un lac à la profondeur abyssale. Des années après la perte de son mari dans un incendie, elle décide de tout recommencer, armée d’un Beretta et du strict nécessaire. Mais ce changement de vie radical, entre un voisin inquiétant, un secret brûlant et un visiteur menaçant, plonge le trio dans un tourbillon de tensions, de révélations et de dangers, poussant Gloria à franchir des limites insoupçonnées pour protéger sa famille.

Précédent synopsis
Gloria récupère ses deux filles à l’école pour tout quitter et prendre la route du nord dans la précipitation. Un changement de vie radical pour cette famille particulière : Gloria a perdu son mari dans un incendie il y a plusieurs années. Dans les valises, elle a glissé un Beretta. Munies du strict nécessaire, elles s’installent dans la maison d’enfance de Gloria, au bord d’un lac à la profondeur abyssale, pour se couper du monde… ou pour brouiller les pistes.

Paroles
“Ce qui m’a immédiatement séduite dans le roman de Véronique Ovaldé, c’est l’énergie des personnages et le ton du récit. Se jouant des limites de la moralité, celui-ci aborde des thèmes que j’affectionne depuis longtemps. Depuis mon premier long métrage Beyond the Steppes (2010), récit d’une femme déportée en Sibérie durant la Seconde Guerre mondiale, je m’évertue à raconter des histoires centrées sur des personnages féminins en quête d’une existence libre.
“Et si maman était devenue folle?” Il y a dans cette histoire tous les ingrédients d’un thriller psychologique haletant, mené par un personnage principal féminin complexe et fascinant, dont on va comprendre peu à peu l’histoire, pour finalement révéler une vérité surprenante et glaçante, très loin de ce que l’on aurait pu imaginer.
Dans cette histoire, les personnages sont doubles, et le jugement que le spectateur peut porter sur eux sans cesse remis en question.” (Vanja d’Alcantara)

Quatrième de couv’
Gloria a choisi ce jour de juin pour partir. Elle file récupérer ses filles à l’école et les embarque sans préavis pour un long voyage. Toutes trois quittent les rives de la Méditerranée en direction du Nord, la maison alsacienne dans la forêt de Kayserheim où Gloria, enfant, passait ses vacances. Pourquoi cette désertion soudaine? Quelle menace fuit-elle? Pour le savoir, il faudra revenir en arrière, dans les eaux troubles du passé, rencontrer Giovannangeli, qui l’a prise sous son aile à la disparition de son père, lever le voile sur la mort de Samuel, le père de ses enfants – où était Gloria ce soir-là ? -, et comprendre enfin quel rôle l’avocat Santini a pu jouer dans toute cette histoire.
Jusqu’où peut-on protéger ses enfants? Dans ce roman tendu à l’extrême, Véronique Ovaldé met en scène un fascinant personnage de mère dont l’inquiétude face au monde se mue en un implacable sang-froid pour l’affronter.