Ovni(s) – saison 2

Télévision

Format : 12 x 30′

Genre : Comédie familiale

Budget : 12 M€

Dates de tournage : du 29 mars au 13 octobre 2021

Lieux de tournage : Belgique


Réalisation
  • Antony Cordier
Scénario
  • Clémence Dargent
  • Martin Douaire
  • Maxime Berthemy
  • Raphaëlle Richet (collaboration)
Musique
  • Thylacine
Production
  • Montebello Productions
Coproduction
  • Be-Films (Belgique)
  • Umedia (Belgique)
Diffusion
  • Canal+
Partenaire(s)
  • Wallimage
  • Ufund (Belgique)
Producteur Exécutif
  • André Bouvard
Direction de Production
  • François Dubois
Image
  • Nicolas Gaurin (AFC)
Casting
  • Youna de Peretti
Acteurs
  • Melvil Poupaud
  • Géraldine Pailhas
  • Michel Vuillermoz
  • Alice Taglioni
  • Quentin Dolmaire
  • Daphné Patakia
  • Capucine Valmary
  • Alessandro Mancuso
  • Olivier Broche
  • Jean-Christophe Folly
  • Sharif Andoura
  • Grégoire Oestermann
  • Jonathan Lambert
  • Andréa Ferréol
  • Jean-Luc Bideau
  • Salif Cissé
  • Camille Constantin
  • Bruno Raffaelli
  • Clotilde Mollet
  • Gilles Privat
  • Tania de Montaigne

Synopsis

Depuis que Didier Mathure a vu de ses propres yeux un ovni, il sillonne, en vain, la France à la recherche de nouvelles apparitions. Alors qu’il s’apprête à tout arrêter, un phénomène étrange se produit dans une centrale nucléaire. Un défi pour l’équipe du GEPAN, -Didier, Marcel, Rémy et Véra-, dépassée par ce mystère qui attise tous les fantasmes. Pour Didier, c’est sûr : une intelligence venue d’ailleurs cherche à établir le contact. Et il va tout faire pour essayer de lui répondre, à moins que Claire Carmignac du Ministère de l’Énergie ne l’en empêche…

Neuf mois ont passé depuis la saison 1. On retrouve Didier et Véra sillonnant la France à bord d’une modeste caravane afin d’aller à la rencontre de tous ceux qui auraient vu un OVNI et n’auraient pas osé en parler. Didier a désormais une croyance indéboulonnable : pour retrouver son statut, il doit convaincre ceux qu’il aime du bien-fondé de ce qu’il a vécu au Larzac mais ça ne sera pas facile.

Les notes pour le dire
“Les musiques sont utilisées de la même manière : dans une forme de jubilation qui correspond à l’emploi de la musique dans les films des années 70. Il y a en fait trois veines différentes : d’abord les thèmes électro de Thylacine, qui travaille avec de vrais synthés des années 70; ensuite des compositions au piano d’Alice Taglioni que j’avais découvertes sur son Instagram et qu’elle a accepté de me confier; enfin des musiques de films des années 70, puisées chez des compositeurs italiens “mineurs” (Alessandro Alessandrini, Franco Micalizzi…).” (Antony Cordier)

“Pour ce projet bien ancré dans son époque, j’avais très envie d’aller fouiller dans les synthétiseurs de cette période […]. J’en ai sorti quelque chose de plus pop et ironique que ce que j’ai l’habitude de faire, et avec un son bien vintage.” (Thylacine)
C’est à Fribourg, en Suisse, que le compositeur s’est immergé dans les locaux (ceux d’une ex-brasserie) du SMEM (Swiss Museum for Electronic Music Instruments) qui possède plus de 5.000 synthétiseurs et autres instruments électroniques, pour pondre la musique de la série. Là, il a pu jouer avec l’arpégiateur du Roland Jupiter-4, les imitations de flûte, de trombone ou de cordes de l’Electone Yamaha ou les presets (sons préprogrammés par les ingénieurs de l’époque) aux noms évocateurs – oldspace, weirdflo… – du Matrix-12 d’Oberheim, un monstre ressemblant au tableau de bord d’une fusée.

Autres infos

Diffusion sur Canal+ à partir du lundi 21 février 2022 (à raison de 3 épisodes par lundi soir).