Welcome in North Korea

Cinéma

Genre : 1er LM

Budget : M€

Stade : Écriture


Réalisation
  • Jan Czarlewski
Scénario
  • Jan Czarlewski
  • Carlotta Verny
Partenaire(s)
  • La Sélection annuelle Groupe Ouest (2020)

Synopsis

Dans une banlieue résidentielle de Londres où toutes les maisons en briques rouges se ressemblent se cache une étrange ambassade. À l’extérieur, la démocratie ; à l’intérieur, on est en Corée du Nord. Et les diplomates nord-coréens n’ont pas la vie facile face aux tentations qu’offre la ville-monde “bourgeoise, capitaliste”. À la suite de nouveaux tests nucléaires lancés par Pyongyang, le n°2 de l’ambassade, Seol, 52 ans, aussi efficace qu’angoissé, a l’idée d’organiser une ambitieuse exposition d’art et d’inviter une délégation d’artistes afin de “redorer” l’image du pays. C’est là l’occasion idéale de faire venir son fils Tae-il, artiste-peintre et de réunir toute la famille. Mais pour que Tae-il puisse venir, le régime ordonne de renvoyer au pays sa fille, So-hyun, lycéenne amoureuse d’un jeune anglais. Seol imagine alors fuir le régime avec sa femme et ses enfants…

Précédent synopsis
Alors qu’à l’ambassade de Corée du Nord à Londres on manque cruellement d’argent, Thae, un diplomate brillant, engage une stagiaire, Claire, étudiante en graphisme à la San Martin School of art & design, pour réaliser une ambitieuse exposition de propagande censée résoudre les problèmes financiers. Pendant la création de cette exposition, Thae apprend que sa mission en Angleterre touche à sa fin. Il commence alors à avoir des doutes sur le régime qu’il défend depuis toujours.

Note d’intention
“Pour écrire ce film nous nous sommes librement inspirés d’une histoire vraie. À quoi ressemble la vie des diplomates nord-coréens et de leurs familles à Londres ? Entre comédie, tragédie et film d’espionnage, nous voulons inviter le spectateur à pénétrer le monde mystérieux et parfois grotesque de la diplomatie nord-coréenne et à suivre le destin de la famille de Seol, l’ambassadeur adjoint, qui ne croit plus au régime criminel qu’il défend. Derrière la façade d’une exposition d’art de propagande à l’image de la Corée idéale, en parallèle d’une critique ironique et décalée de notre société occidentale, évoluent des personnages profondément humains qui, même s’ils sont parfois menteurs et calculateurs, n’en restent pas moins otages d’un système totalitaire implacable. Ils ne peuvent dire ce qu’ils pensent vraiment sans se mettre en danger et les choix qu’ils doivent faire sont déchirants.” {Jan Czarlewski, Carlotta Verny)