Le Mystérieux regard du flamant rose (La misteriosa mirada del flamenco)

Cinéma

Genre : 1er LM

Budget : 1,5 M€

Stade : Financement

Dates de tournage : printemps 2024

Lieux de tournage : Chili


Réalisation
  • Diego Céspedes
Scénario
  • Diego Céspedes
Production
  • Don Quijote Films (Chili)
  • Les Valseurs
  • Wrong Men (Belgique)
  • Irusoin (Espagne)
Coproduction
  • Arte France Cinéma
  • Rampante Films (Chili)
  • Varios Lobos (Mexique)
Diffusion
  • Arte
Partenaire(s)
  • Résidence de la Cinéfondation du Festival de Cannes
  • TorinoFilmLab
  • Région Nouvelle-Aquitaine (aide à la production)
  • Département de la Charente-Maritime
  • Département de la Charente
  • Aide aux cinémas du monde (ACM)
  • Venice Gap-Financing Market (septembre 2022)
  • Centre du Cinéma et de l'Audiovisuel de la Fédération Wallonie-Bruxelles (aide à la production, 2e session 2023, 100.000€)
  • Eurimages (soutien à la coproduction, novembre 2023, 139.000€)
  • Mini-traité franco allemand (aide à la coproduction, mars 2024, 255.000€)
Ventes Internationales
  • Charades

Synopsis

1982. Alors qu’une maladie inconnue commence à se propager dans une petite ville minière du désert chilien, on accuse les hommes gays de la transmettre par le regard. Lidia, douze ans, est la seule fille de la communauté. Quand son frère tombe malade, elle se lance à la recherche de la vérité…

Paroles
“Je souhaite m’inscrire dans une sorte de nouvelle vague d’artistes chiliennes qui se réapproprient les mythes et les légendes typiques de notre pays, sans en omettre la dimension politique. Mon film aborde ainsi la question de l’homophobie et de la transphobie au Chili, à travers une satire de la gestion de la pandémie du VIH dans les années 1980. Raconté du point de vue d’une jeune fille de 12 ans, le film explore les relations amoureuses homosexuelles à travers un mythe, inventé par toute une population aveuglée par la peur et la méconnaissance de ce virus. J’espère, à travers des personnages sincères aux regards aussi lumineux que fragiles, rendre leur humanité aux victimes, noyées dans l’anonymat que la société de l’époque leur a imposé.” (Diego Céspedes)